GO!

harley

Finalement Bébert et Ginette ont  décidé ce que Bebert a décidé. Ils partent en Amérique le 8 juin et Ginette  revient le 20 juillet pour voir Hugo et Elias,  ses  petits -enfants  berlinois  de 4 et 7 ans, qui viennent  avec leur parents vivre une semaine dans un chalet d’alpage en Savoie.

Tel père, tel fils: Hadrien, leur père, a  planifié  leur premier  stage de survie : chalet isolé non accéssible en auto, pas d’électricité, l’eau de la source pour seule boisson, un chauffe-eau à gaz cassé, mais  un gros tas de bois pour la cuisine et pour  se chauffer.

Dans des conditions semblables à celles de la Sibérie occidentale.

Quand Bébert aura  atteint un endroit plus glamour, Ginette ira le rejoindre, quand elle veut et si elle veut.

Pour l’instant ils prennent ensemble la direction de l’hopital -si le projet est flou la préparation est méthodique- pour se faire administrer les vaccins de la rage, la tiphoïde, la fièvre jaune, le tétanos, la diphtérie, la polio, les hépatites A et B  et la coqueluche.  Quand on fait le tour du monde il faut se protéger de tous  maux de la terre.

Berbert a acheté une moto à Chicago.

GO!

G

9 réflexions sur “GO!

  1. on sait très bien que ce sont les « hommes » qui commandent toujours, malgré la parité !!!
    Alors, Ginette qu’est ce que tu espères !!!!!!!

    J’aime

  2. La honte lorsque je me représenterai avec ma 1200 GS au cabinet ; je ne pourrai plus faire le cacou !
    Bébert toi qui a toujours piloté sur trois roues, tu as du te rendre compte qu’à deux sur deux roues, c’est pas toujours facile.

    Allez une confidence, combien de fois l’as tu posée sur la route sans le vouloir.

    Moi j’avoue : une quarantaine de fois, dont 17 en un seul jour en Bolivie en allant du salar d’Uyuni au Laguna Colorada.

    Mais toujours à l’arrêt, c’est plus sympa pour les os !

    J’aime

    1. Trois fois, dont deux avec Geneviève et une tout seul à une station-service mais toujours à l’arrêt (ou quasiment) et toujours sur du bitume; si j’avais du, comme toi, faire de la piste cela se compterait en centaines de fois !

      En Mongolie, sur ma petite moto chinoise, je suis tombé deux fois pour arriver trop vite dans du sable et vouloir ralentir à ce moment là; je me suis fait mal (tour de rein), non en tombant mais en voulant relever la moto trop vite et n’importe comment sans l’avoir préalablement déchargée.

      A bientôt sur les routes du monde.

      B.

      J’aime

Laisser un commentaire