Pour les besoins de l’immatriculation de Pacific Blue, à défaut de laquelle je n’aurais pas pu continuer à circuler au delà d’un mois, l’ami Geleon m’avait trouvé une famille américaine acceptant de me domicilier chez elle.
Il faut dire que la moto crée des liens…
Un couple, dans la petite quarantaine, elle, plutôt WASP (white, anglo-saxon, protestant) et lui une belle tête de « native americain » -entendez de descendant des rares indiens ayant échappé au Général Custer, celui pour lequel « un bon indien (était) un indien mort« -, tous deux employés chez Microsoft, et leurs deux enfants nés sur le sol américain mais nourris au fromage… suisse (?!) :
habitant une agréable maison dans un des quartiers résidentiels de Seattle joliment appelé « Bellevue »
Avec la gentillesse et le sens de l’entr’aide propre aux américains elle m’a accompagné au bureau des immatriculations:
pour veiller à ce que tout se passe bien:
Et tout s’est bien passé:
Comme je m’émerveillait sur l’efficacité de la société américaine mon hôtesse m’a fait comprendre que si elle était effectivement favorable à ceux qui sont jeunes, bien portants et intelligents, autrement dit aux forts, elle était en revanche impitoyable envers les faibles (ou, ce qui revient au même, à ceux qui n’ont pas su bien se défendre)
….
Ah, j’oubliais, ma jolie hôtesse s’appelle Isabelle, son mari Cyril, et ils sont nés, elle à Bordeaux et lui à Lille…
On n’oublie pas Voltaire si vite…
bebertworldtrip 
Qu’elle famille sympathique que je connaîtrai peut-être un jour!
Ginette de retour à Aidier.
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Bébert je vois que tu es bien entouré. Bonjour à nos français expatriés !
Bonne route à toi pour la suite de ton périple…….
Bises bien chaudes de Paris, où je suis de retour après m’être expatriée en Suisse quelque temps.
Marie
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une belle famille !!!!!
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Que signifie votre commentaire est en attente de modération ????
Tu sais Bébert l’informatique et moi ………
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Ca veut dire qu’on ne l’a pas encore lu!!!
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quel pb le choix de son avocat! il vaut mieux en avoir un bon dans ses relations
si on veut pas finir dans la rue…pauvre homme, il n’en serait pas là si il avait connu maître Louchet!
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Heureusement qu’on a encore « la vache qui rit » pour équilibrer notre balance commercialle.
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Didi, regarde bien sur la boite, il est écrit : « creemy swiss »…….
et non creemy french !!
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Courage Bébert, une pensée de Paris !!!
Ce sont les aléas de l’aventure………
Marie
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Quelle chute ! … le coup de main était en fait franco français.
Un couple américain aurait-il rendu le même service ?
Sais tu que la fille ainée de Jean Pierre FERRE, le géomètre, travaille chez Microsoft et habite bien évidemment à Seattle.
Ils doivent se connaître, la communauté française chez Microsoft à Seattle ne doit pas être si nombreuse ..
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