ELEGANCE ET GASTRONOMIE EN INDOCHINE

La ville de Hoï An – Fai Foo du temps des français –

 a été  de tout temps réputée pour ses soies de haute qualité

et ses tailleurs qui vous taillent un costume en 24 heures.

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Mais  quand arrive la  mousson c’est le plastique qui revient en force,

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manteaux ou ponchos unis ou chamarrés,

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accessoirisés avec chapeaux en feuilles de lataniers, casques de motos,

parapluies, tongs ou masques de protection pour un fini élégant.

Les originaux  individualistes  qui ne suivent pas la mode seront mouillés comme des rats.

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Donc, quand arrive la mousson les soyeux n’ont d’autres choix

que de brader leurs marchandises

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ainsi que leurs fournisseurs.

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8 réflexions sur “ELEGANCE ET GASTRONOMIE EN INDOCHINE

    1. Bien sûr qu’elle a mangé ce ver à soie, celui-ci et tous les autres de son assiette ! Ils explosent sous la dent et libèrent un jus amer… Il paraît qu’avec les sauterelles frites (qu’elle compte bien goûter en Ethiopie) c’est la nourriture de l’avenir, celle qui permettra aux dix milliards d’habitants de la planète de ne pas mourir de faim.

      De faim, peut-être pas mais de dégoût sans doute.

      B.

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  1. Dame Ginette, tu as le look « MOUSSON » (c’est le pantalon que tu as acheté de l’autre côté de la rivière ?) et cette assiettée que tu es entrain de dévorer goulûment me dégoûte !!
    Beurk, je ne partagerai ton repas !!!!!!

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  2. « Bien sûr qu’elle a mangé ce ver à soie »….Parce que, toi, Bertrand, tu n’en a pas mangé ? Ça a pourtant l’air très bon!
    Demandez aux gens qui n’ont pas l’habitude de manger des grenouilles dans leur pays , ce qu’ils ressentent devant une assiette de cuisses de grenouilles !!!!
    Merci pour toutes ces photos et ces joyeuses relations de voyage !
    M.Alix

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    1. J’en ai mangé un… Ce que tu dis à propos des grenouilles (d’ailleurs les Anglais en ont tiré notre surnom « frogs » ou « froggies ») est encore plus vrai pour les huîtres : non seulement elles ne sont pas belles à voir mais, en plus, on les mange vivantes ! Ma défunte mère, qui avait eu très faim pendant la guerre, me disait qu’elles étaient, avec les rutabagas et les topinambours, les seuls aliments que l’on trouvait sans trop de peine, les allemands, dégoûtés, ne les réquisitionnant pas.
      J’avoue que je préfère -de très loin- la cuisine japonaise même si, elle aussi, conduit parfois à manger des animaux vivants.

      B.

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  3. Vous avez cette douce élégance par vos écrits et vos photos de raviver des souvenirs, comme celui de mon père, tailleur sur mesure, en train de travailler sur un costume en soie…

    L’Éthiopie ? Son café, ses petits restos à la gastronomie si particulière et bien mieux adaptée à nos palais occidentaux, sa population agréable. Continuez à profiter 🙂

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  4. Quel dommage que la France et notamment la Savoie ne connaissent pas la mousson !
    Ce serait un réel bonheur d’avoir les chutes de neige programmées entre décembre et avril sans broncher et sans faillir.
    Ici tout est encore vert sauf le banc serpent de neige artificiel des pistes équipées de canons.
    Il va falloir que cela tombe si l’on ne veut pas finir également, faute de rentrées d’argent, par manger des insectes

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