A Tanger, dans le restaurant populaire « Saveur de poissons« , où l’on ne sait pas ce qu’on va manger mais où l’on est obligé de tout manger,
A Volubilis, dans le jardin d’ Azzédine, cuisinier qui a fait le tour du monde, une fois la basse-cour endormie, un merveilleux tajine de poulet au citron à la lueur de la lampe frontale enroulés dans une couverture,
Au bout du port d’Essaouira, des sardines et des crevettes avec les doigts et les chats du port et après, on jette les restes sur le quai pour les mouettes , et après c’est tout propre,
dans la médina, chez le Belge, mais là il n’y avait que les frites qui étaient bonnes,
« Les vraies frites belges sont faites avec des binjtes ou des patates rouges; on fait deux passes, l’une à 140 ° pour cuire l’intérieur et la deuxième, au moins vingt minutes plus tard, à 180 ° pour le croustillant, avec de l’huile Lesieur spéciale friture, pas d’arachide sinon ça sent la cacahouète. On les sert avec une mayonnaise à température ambiante et pas sortie du frigo pour ne pas que la fraîcheur de la sauce couvre le goût de la frite. »
des brochettes de mouton, attirés par la bonne odeur des rôtisseries des villages traversés,
sur la route de Kénifra, arrêtés chez » l’homme endormi« , un délicieux menu routier composé d’oeufs frits au cumin, de fromage de sérac et de yaourt de brebis,
et tout le long de la route depuis le Pont du Gard
des sandwichs à la Vache qui rit.
G.
Bien, c’est quand qu’on mange ? Paske là, il fait FAIM ! ! !
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Tagines, coucous, ça fait envie !
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